Raymond Germanos Lefèbvre

La chasse aux oiseaux migrateurs, selon Raymond Germanos Lefèbvre, est une activité reposant sur la préservation  de l’habitat et de chaque espèce. Environnement Canada veille à ce que les populations d’oiseaux migrateurs vivant dans leurs habitats naturels restent abondantes.

Raymond Germanos Lefèbvre et les types d’oiseaux migrateurs chassés au Canada

Le Québec abrite jusqu’à 300 espèces d’oiseaux, soigneusement protégées au sein du territoire. Il est possible de les trouver dans les parcs nationaux et les réserves de faune. Deux fois par an, des centaines de milliers de grandes oies des neiges migrent le long du Saint-Laurent avant de poursuivre vers le Grand Nord. Durant trois semaines, elles se nourrissent sur les rives boueuses du fleuve. L’outarde est un oiseau migrateur connu pour se déplacer en groupes et formant de grands V lors de leur migration. Les oiseaux migrateurs vont se déplacer dans une autre région afin de s’accoupler et couver les œufs. La chasse aux oiseaux migrateurs au Canada constitue un sport populaire. La chasse est ouverte en général durant les voyages migratoires. Lorsque l’oie sauvage va vers le Grand Nord en passant dans le sud, c’est à cette période que celle-ci est énormément chassée.

Les règlements de la chasse aux oiseaux migrateurs au Canada

Au cours de ces quinze dernières années, la population de bernache du Canada, dans le Centre-du-Québec, attire de nombreux chasseurs. Pour chasser en toute légalité, vous devez posséder un permis valide de chasse aux oiseaux migrateurs considérés comme gibier, délivré par le gouvernement fédéral. Pour chasser la marmette, le chasseur devra être un résident de la province de Terre-Neuve et du Labrador et disposer d’un permis de chasse valide. Il est interdit de chasser une espèce en dehors des saisons de chasse annuelles, ainsi que les limites de prises pour chaque espèce. Au Québec, il est obligatoire de faire usage de la grenaille non toxique, surtout pour des oiseaux migrateurs considérés comme gibier.

Raymond Germanos Lefèbvre

Les ressources en eau douce selon Raymond Germanos Lefèbvre ont toujours eu un impact sur la géologie, l’histoire, la biologie et la culture du Canada. Ce pays abrite de nombreux plans d’eau, indispensable dans le cycle hydrologique, faisant l’objet de surveillance régulière à cause de risque d’inondation.

Situation générale sur les niveaux d’eau au Canada

En avril dernier, les niveaux des cours d’eau de la Mauricie et du Centre-du-Québec préoccupaient énormément les autorités canadiennes. Ces inquiétudes se sont accrues à cause des précipitations importantes sévissant dans ces deux régions. L’eau montait sans interruption à Maskinongé, inondant une bonne partie des routes et se rapprochant des résidences. D’autres cours d’eau, ceux de Sudbury et de North Bay, s’étaient également réveillés toujours en avril dernier. Les offices de protection de la nature ont activé les veilles d’inondations pour ces régions. Les ruisseaux Chippewa et Junction faisaient l’objet de surveillance particulière. Selon un responsable, les usines de traitement des eaux tournaient à plein régime. Un débit trois fois plus grand que la normale devait être traité, poussant les usines à rejeter l’eau dans la nature immédiatement, afin d’éviter les refoulements d’égouts.

Le Canada, établir une bonne gestion des ressources en eau

Dans le monde, le Canada est l’un des rares à disposer de vastes ressources en eau douce. A cause de l’expansion des villes, des industries et de l’agriculture, la demande en eau s’est accrue. Le gouvernement fédéral, les provinces, les administrations municipales sont responsables de la bonne gestion des ressources en eau. Grâce à une bonne gestion des ressources hydriques, l’équilibre entre les demandes socio-économiques et la capacité des ressources en eau douce existantes sera maintenu. Une des lois protégeant les lacs et les cours d’eau se rapporte à la Loi canadienne sur la protection de l’environnement. Afin d’éviter les inondations des résidences à l’avenir, l’Office de protection de  la nature incite les propriétaires à construire des digues autour de leurs résidences.  

Raymond Germanos Lefèbvre

Durant les années 1990, les canadiens ont acheté de plus grands appareils ménagers et préfèrent les mini-fourgonnettes aux voitures à faible consommation d’essence selon Raymond Germanos Lefèbvre. Ce changement dans les goûts des canadiens ont engendré une hausse de la demande en énergie.

Une consommation d’énergie élevée, surtout pour le Québec

Les canadiens font partis des 10 plus grands consommateurs d’énergie dans le monde. Le pétrole, le gaz ou le mazout font partis des denrées rares les plus utilisées par les canadiens. En plus d’être coûteuses, ces énergies constituent une importante source d’émissions de gaz à effet de serre et de pollution. Au Québec, par exemple, il existe 5 formes d’énergie : la biomasse, le gaz naturel, le pétrole, l’électricité et le charbon. Pour l’année 2009, 39 millions de tonnes d’équivalent pétrole ou tep ont été consommées, soit 4,875 tep par habitant. La même année, les énergies fossiles représentaient 52,6% de la consommation d’énergie au Québec. Les québécois sont de grands consommateurs d’énergie à cause de la grande production d’hydroélectricité et à petit prix. La  consommation d’énergie dédiée aux transports pour les québécois selon Raymond Germanos Lefebvre est de 72,9%. Le pétrole est l’énergie la plus utilisée au Québec, au même titre que l’électricité.

Les mesures appliquées pour réduire la consommation d’énergie canadienne

Durant l’année 2002, la consommation d’énergie des canadiens était trois fois plus élevée que celle des italiens. Grâce aux nouvelles technologies et les efforts de conservation de l’énergie effectués par le Canada, la consommation énergétique fut diminuée en partie. Le puits canadien dans la maison contribue aussi à diminuer la consommation d’énergie grâce à une consommation électrique minime. Ce dispositif réduit à al fois les gaz à effet de serre et les factures de chauffage et de climatisation. Pour les entreprises canadiennes, la réduction de la consommation de papier permet de diminuer les émissions de gaz à effet de serre. La réduction de la quantité de documents à imprimer protège de la pollution de l’air.

Raymond Germanos Lefèbvre

Raymond Germanos Lefèbvre : Les actions prises par le gouvernement français en faveur de l'environnement ne datent pas d'hier. La France est l'un des premiers pays à se tourner vers l'écologie.

De 1960 à 1970

La France figure parmi les premiers pays industrialisés à avoir adopté une politique de protection de l’environnement. Le ministère de l'environnement français a été créé en 1971, plus précisément le 27 janvier. Au début, cette institution était chargée d’inciter les autres ministères à des actions de protection de la nature. Dès les années 60, le pays avait concrétisé son intérêt porté à ce sujet. C'est la raison pour laquelle une loi parlant de la création de parcs nationaux a été promulguée dès 1960. Plus tard, en 1964, le parlement français avait adopté la loi portant sur les régimes de l’eau. Ce dispositif parle essentiellement des mécanismes concernant la notion pollueur-payeur.

Les actions menées à partir de 1970

Consciente de la dégradation progressive de l’environnement, la France effectue d’autres actions visant à stopper ou du moins à ralentir cette décadence. Entre 1970 et 1999, le pays met en place des institutions et adopte des textes de loi sur la conservation de la nature. En 1976, l’élimination et le recyclage des déchets, en 1982 des règlements concernant la maîtrise de l’énergie. Par ailleurs à partir de 1990, des institutions œuvrant pour la protection de l’environnement ont vu le jour. Elles sont regroupées au sein de l’ADEME. Toujours en 1990, a été adopté le premier PNE. Ce plan d’envergure nationale et portant sur la protection de l’environnement a apporté de grands changements au niveau du Ministère de l’environnement. Des réformes qui ont été concrétisées par la mise en place de DIREN dans chaque région.

Blog officiel de Raymond Germanos Lefèbvre

Raymond Germanos Lefèbvre : La biodiversité en France se trouve actuellement menacée. Inciter les citoyens à des actions communes comme un simple nettoyage de groupe est l'une des solutions mises en place par le gouvernement français afin de limiter la détérioration de l'environnement.

Du côté des collectivités

Communes, départements, régions et autres groupements agissent ensemble pour sauver la biodiversité en France. Elles créent et assurent la gestion de nouveaux parcs naturels et réserves naturelles. Pour stimuler les connexions d’ordre écologique entre elles, ces collectivités réhabilitent, créent et entretiennent des bandes enherbées, des haies, des cours d’eau ou encore des berges de canaux.

Du côté des particuliers

De leur côté, les particuliers sont invités à respecter les périodes de nidation. Par la même occasion, ils doivent se tenir aux balises dans les espaces protégés. De chez eux, ils peuvent agir en préservant un coin de prairie dans leur cour. Pour leur plantation, ils doivent se limiter à l’usage de produits naturels afin de sauver les nappes phréatiques et le sol. Rien qu’en mangeant de produits issus de l’agriculture biologique, ils luttent déjà contre l’érosion du sol.

Du côté des entreprises

Indépendamment des deux précédentes entités, les entreprises doivent aussi remplir leur rôle, notamment en insérant leur site dans l’écosystème. Ces sociétés devenues responsables doivent choisir les matières premières qui leur sont indispensables en tenant compte de leur durabilité. Intégrer une culture de biodiversité dans l’établissement sera une excellente idée. Il s’agit de mobiliser les salariés autour de ce combat en les incitant à participer à des séminaires et à des actions de sensibilisation.

Les nappes phréatiques et les eaux de surface du territoire français sont polluées par les nitrates affirme Raymond Germanos Lefèbvre. Il existe aujourd'hui des solutions radicales permettant de limiter la prolifération de ces substances et ainsi de protéger l’environnement.

Lutter efficacement contre la pollution aux nitrates

La mise en place de bassins hydrographiques facilite l’assainissement des eaux empêchant les nitrates de polluer l’eau. Ces bassins sont aménagés depuis les années 60 et la France en dispose au nombre de six. En favorisant la culture dans les régions les plus touchées, l'on a augmenté la chance d'enfouir les nitrates en profondeur et de les empêcher ainsi de contaminer l’eau. Les cultures ont généralement lieu pendant la période de pluie, entre mi-septembre et mi-avril. Les espèces les plus répandues regroupent les moutardes et les phacélies, des cultures intermédiaires qui réduisent considérablement la quantité de nitrate présent dans l’eau. Les restrictions sur l’épandage des fertilisants et des effluents d’élevage ainsi que les périodes d’interdiction de l'utilisation de ces substances ont aussi apporté beaucoup dans cette lutte.

Zoom sur les nitrates

Les nitrates sont l'une des principales causes de la pollution des eaux en France. Ils sont surtout utilisés en tant qu'engrais naturels garantissant la croissance des plantes. D’origine industrielle ou agricole, les nitrates deviennent nocifs à l’écologie et aux écosystèmes aquatiques s'ils sont utilisés en trop grande quantité. Ils engendrent une eutrophisation qui est une dégradation de l'équilibre aquatique suite à l'apport d'une quantité excessive de nitrates. Ces derniers sont également à l’origine de la prolifération des algues vertes sur les plages. Drainés par les eaux de pluie, ils se répandent rapidement dans les réservoirs d’eau, les lacs et les cours d’eau pouvant être néfastes à la santé.

Site officiel de Raymond Germanos Lefèbvre

Raymond Germanos Lefèbvre : La France souhaite réduire la présence de déchets médicamenteux dans l'eau avec le lancement d'un projet d'envergure nationale.

Les restes de médicaments dans l'eau, une réalité

Biologiquement actifs, les médicaments ne se dégradent pas totalement dans l'organisme lorsqu'ils sont ingérés par un patient. Leurs résidus se retrouvent donc naturellement dans les urines et les selles. Ils se répandent ensuite dans la nature après avoir terminé leur voyage dans les réseaux d'eaux usées. Il arrive également que certaines personnes prennent la fâcheuse habitude de jeter elles-mêmes les médicaments périmés dans les eaux domestiques. Selon une récente étude, près d'un quart des échantillons d'eau ayant fait l'objet d'études particulières ont révélé des traces de produits vétérinaires ou de médicaments. Les antidépresseurs, les antibiotiques, les hormones, les anxiolytiques et les antiépileptiques en sont les plus importants.

Un projet qui repose sur trois piliers

Le plan adopté pour la réduction des déchets médicamenteux repose sur trois axes majeurs. Dans un premier temps, il est question d'informer le public de l'ampleur des risques à travers des campagnes ciblées. Pendant ce temps, les effluents d'élevages et les rejets hospitaliers seront surveillés de près. Dans un second temps, il est prévu de déterminer des mesures de gestion efficaces. Les filières d'élimination et de récupération de médicaments non usagés seront renforcées. Les particuliers seront encouragés à les rapporter à la pharmacie au lieu de les jeter dans la nature. Et dans un troisième temps, l'on planifie un plan de développement des connaissances techniques et scientifiques relatives aux effets de ces déchets sur la santé et l'environnement.

Raymond Germanos Lefèbvre : Site Officiel

Raymond Germanos Lefèbvre : Depuis quelques années, la France s'est investie dans la lutte pour la protection de l'environnement. A cet effet, le gouvernement français s'est engagé dans une politique environnementale pour un avenir meilleur.

Des projets ambitieux initiés par les autorités locales

En matière de politique environnementale, le gouvernement français a adopté un programme ambitieux axé sur de nombreux domaines. Ainsi, cette politique vise à la diminution des émissions de GES ou gaz à effet de serre, à lutter contre toute forme de pollution de l'eau et de l'atmosphère, à la préservation et la protection de la biodiversité ainsi qu'à une meilleure gestion des déchets. D'ailleurs, le Grenelle de l'environnement a adopté des lois qui tendent à favoriser une économie de carbone plus sobre et qui touchent le domaine de l'électricité, des transports, du bâtiment, de l'industrie et de l'agriculture. À cet effet, le gouvernement demeure confiant face à son projet de réduire à 75 % les émissions de GES d'ici 2015.

Une politique de gestion efficace pour une économie durable

Pour atteindre cet objectif dit Raymond Germanos Lefèbvre, l'État accorde une attention particulière aux possibilités d'instaurer un prix du carbone unique après que le conseil constitutionnel ait censuré l'utilisation de cette matière première. Par ailleurs, la production d'électricité à partir de sources renouvelables et nucléaires ainsi que différents moyens de baisser l'utilisation du carbone dans les industries et les transports, mais aussi une meilleure gestion des déchets, de l'eau, des pesticides et des engrais entrent dans les enjeux de cette initiative. Pour une meilleure efficacité dans les coûts et les bénéfices liés à cette lutte, des travaux considérables ont été avancés dans ce projet pour une économie durable.

 Raymond Germanos : L'environnement, Construire pour demain

Le changement climatique apporte son lot de dégâts à l'environnement canadien dit Raymond Germanos Lefèbvre .

Protection de la nature canadienne contre le changement climatique

Pour les pousser à protéger la faune et la flore de leur pays, les Canadiens sont sensibilisés sur les effets négatifs du changement climatique. Parmi les mesures prises, le point sur les énergies utilisées est particulièrement mis en avant. Les Canadiens doivent désormais puiser les énergies dont ils ont besoin dans d'autres sources. L'utilisation d'énergie non polluante est fortement encouragée. L'objectif étant de conserver un climat sain, la population du Canada contribue à la restauration de surfaces en plantant des arbres, en limitant la chasse et la pêche par saison.

Les effets néfastes du changement climatique sur la nature canadienne

N'importe quel type de faune ou de flore sauvage du Canada est menacé par le changement climatique. Certaines espèces sont contraintes de migrer et changent d'aire de répartition. Comme les températures deviennent inconstantes, les variétés telles que la carouge et le merle d'Amérique reproduisent plus tôt que prévu. Les animaux et les plantes sauvages ne disposent plus suffisamment de temps pour s'adapter au changement, car le rythme devient de plus en plus rapide.

Le changement climatique en bref

Il s'agit d'une modification des conditions atmosphériques sur le long terme. Le climat devient instable. La longueur des saisons, les pluies et les températures qui, jusqu'ici, soutenaient les humains, les plantes et les animaux connaissent un véritable déséquilibre. En raison de la révolution industrielle et des activités humaines, l'effet de serre a augmenté. D'ici 2100, les températures de la terre pourront croître de 1,8 à 4°C.

 Raymond Germanos Lefèbvre .

Raymond Germanos Lefèbvre : Environnement Canada va supprimer des centaines de postes en son sein selon le syndicat STE. Cette annonce fait suite à une réduction des sommes allouées à l'environnement qui est constatée depuis le budget fédéral de 2010.

Une pilule amère pour les travailleurs du ministère

776, c'est exactement le nombre d'emplois qui ne figureront plus dans les lignes de la direction des ressources humaines du ministère de l'environnement canadien. La pilule est dure à avaler pour le Syndicat des Travailleurs de l'Environnement qui voit la suppression de 11% de ses effectifs. Autant dire que bien des bureaux seront vides dans les différentes agences d'Environnement Canada à travers tout le territoire d'ici peu. Cette coupe dans les effectifs de l'agence fait suite à la politique de réduction du déficit adoptée par le gouvernement fédéral canadien. La décision est justifiée selon le président du conseil du Trésor, Tony Clément.

Selon Raymond Germanos Lefèbvre, une réaffectation pour calmer les esprits

Le bureau du Ministre Peter Kent a annoncé par le biais de son porte-parole, John Morris, que 476 personnes feront l'objet d'une réaffectation au ministère de l'Environnement. Les moins chanceux seront tout simplement mis à pied. Selon Bill Pynn, président de la STE au niveau national, cette tentative de calmer les esprits est insuffisante et les ministères sont techniquement dans l'impossibilité de reprendre les emplois supprimés au sein d'Environnement Canada. Les réaffectations sont accueillies froidement par les employés d'Environnement Canada qui est l'un des plus petits ministères en termes d'effectifs et de budget au niveau fédéral. Une façon de dire que ces réaffectations sont en quelque sorte une goutte d'eau dans la mer.

Raymond Germanos Lefèbvre